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Vers un report de l'examen du mariage homosexuel à l'Assemblée
PARIS (Reuters) - L'examen par les députés français du projet de loi sur le mariage homosexuel, prévu pour la mi-décembre, pourrait être reporté à fin janvier, a-t-on appris jeudi de source gouvernementale.
Le président socialiste de la commission des lois de l'Assemblée nationale, Jean-Jacques Urvoas, a en effet demandé un délai au gouvernement afin de lancer une consultation sur le texte.
"Je souhaite que le texte ne soit pas examiné en séance publique en première lecture avant fin janvier 2013", a-t-il dit à Reuters.
L'idée d'un tel report d'un peu plus d'un mois est envisagée favorablement par le gouvernement.
"Nous sommes disposés à accéder à leur demande", dit-on à Matignon.
Le projet de loi qui doit être présenté en conseil des ministres le 31 octobre prévoit la légalisation du mariage et de l'adoption pour les couples de même sexe mais exclut la procréation médicalement assistée pour les couples de lesbiennes.
Certains à gauche estiment que le texte est trop restrictif, ce qui est également l'avis des associations de défense des droits de la communauté homosexuelle.
"Un débat serein doit être engagé pour déterminer les conditions, notamment juridiques, dans lesquelles cette réforme pourra être mise en oeuvre", ajoute Jean-Jacques Urvoas dans un communiqué.
"Le Parlement est le lieu le plus adapté pour ce débat. Il doit disposer du temps nécessaire pour étudier ce texte sereinement ainsi que les enjeux qui y sont rattachés", dit-il.
Jean-Jacques Urvoas a précisé à Reuters souhaiter un grand débat à l'Assemblée durant tout le mois de janvier avec des auditions ouvertes à la presse chaque jeudi après-midi.
Emile Picy et Julien Ponthus, édité par Patrick Vignal
AFP/Archives
Sa peine a été assortie d'une période de sûreté de 20 ans.
L'avocat général Marc Gouton avait requis lundi la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d'une période de sûreté de 22 ans, demandant aux jurés de "mettre hors d'état de nuire, pour des raisons d'ordre public, un tueur qui a délibérément choisi la voie du crime et du banditisme depuis près de 30 ans".
En première instance, fin 2010, l'accusé de 52 ans, un ancien berger du village de Venzolasca (Haute-Corse) considéré comme le chef d'un des clans criminels les plus puissants en Corse, avait été condamné à 28 ans de réclusion.
Appelé à prendre la parole avant que les jurés se retirent pour délibérer pendant plus de cinq heures, Federici avait de nouveau "crié son innocence". "Je n'ai jamais tué personne, jamais, j'ai fait du mal à personne", avait-il lancé à la cour.
Il assure n'avoir été qu'une victime collatérale de la fusillade, et non un des membres du commando de huit à dix hommes, lourdement armés et cagoulés, qui ont fait irruption le soir du 4 avril 2006 au bar des Marronniers, tuant le caïd Farid Berrahma et deux de ses lieutenants. Avec pour enjeu le contrôle des machines à sous autour de l'étang de Berre.
Me Dominique Mattei a immédiatement annoncé le pourvoi en cassation de son client. Avant la clôture des débats, il avait plaidé son acquittement face au "doute immense" planant, selon lui, sur l'affaire.
"Cet homme n'a jamais tué personne, il n'a jamais eu à répondre d'un meurtre à 52 ans. Il a le profil du braqueur, oui, il a volé, mais il n'a jamais été condamné pour meurtre", avait plaidé l'avocat.
Le procès, qui s'était ouvert le 8 octobre, avait été ajourné vendredi après la révélation de soupçons de subornation de témoin, dossier dans lequel six personnes ont été mises en examen et incarcérées dimanche. Les débats avaient repris lundi, la défense ayant finalement renoncé à demander son renvoi.
Dans cette affaire de subornation présumée, Jacques Mariani, fils d'une figure décédée de la bande bastiaise de la Brise de mer, a été placé en garde à vue mais pas mis en examen à ce stade.
Mariani, qui purge actuellement à la maison d'arrêt de Saint-Maur (Indre) une peine de 15 ans de réclusion criminelle pour assassinat, voulait, selon les écoutes téléphoniques, aider son rival Federici, défendant l'idée d'un front commun contre la justice malgré les inimitiés.
Une manoeuvre dont l'accusé a nié être l'instigateur. "Moi, M. Mariani, c'est pas mon ami. Je préfère prendre perpète que de demander des choses à Mariani, je n'ai rien à voir avec lui. S'il a voulu me faire du bien, il m'a tué, s'il a voulu me faire du mal, il a gagné", avait déclaré lundi à l'audience Ange Toussaint Federici.
AFP/Archives
Selon la version des autorités de transition libyennes, Kadhafi a été tué dans un échange de tirs au moment de sa capture le 20 octobre 2011 dans sa région natale de Syrte (nord-ouest). Mais des témoins et des médias avaient affirmé qu'il avait été tué après sa capture par les rebelles.
Intitulé, "Mort d'un dictateur: Vengeance sanglante à Syrte", le rapport de 50 pages détaille les dernières heures de Kadhafi et les circonstances de sa mort, de celle de son fils et de celle de membres de son convoi, sur la base de témoignages et d'images prises par téléphones portables.
"Les résultats de notre enquête soulèvent des questions autour des affirmations des autorités que Mouammar Kadhafi a été tué dans des échanges de tirs et non après sa capture", affirme Peter Bouckaert, directeur des urgences à HRW.
"Les preuves suggèrent aussi que des miliciens de l'opposition ont exécuté sommairement au moins 66 membres du convoi de Kadhafi capturés à Syrte", selon lui.
Ces miliciens de la ville de Misrata ont capturé et désarmé les membres du convoi de Kadhafi, puis les ont violemment battus. "Ils ont ensuite exécuté au moins 66 d'entre eux près de l'hôtel Mahari", ajoute-t-il, en soulignant que certains avaient leurs mains liés derrière leur dos.
Ces résultats convergent avec des informations d'un correspondant de l'AFP qui s'était rendu à Syrte en octobre et avait recueilli des informations et preuves sur la découverte de 65 à 70 corps dans l'enceinte du Mahari, dont plusieurs avec une balle dans la tête.
L'organisation de défense des droits de l'Homme basée à New York a récupéré des vidéos clips de téléphones portables filmés par des combattants anti-Kadhafi qui montrent des combattants abusant et insultant un large groupe de membres du convoi capturés.
Elle dit avoir utilisé des photos de la morgue dans les hôpitaux "pour confirmer qu'au moins 17 des détenus visibles sur les vidéos avaient été ensuite exécutés à l'hôtel".
HRW souligne avoir également interviewé des officiers au sein des milices rebelles qui étaient sur place et des survivants de l'attaque du convoi en détention ou chez eux.
Sur la mort de Kadhafi, l'ONG fait état d'images vidéo montrant que la dictateur a été capturé vivant mais saignant d'une blessure à la tête. Selon elle, on y voit les rebelles le battre violemment et il semble avoir été blessé à la baïonnette sur les fesses avec de forts saignements.
"Il apparaît sans vie" au moment où il était filmé transporté ensuite dans une ambulance à moitié nu, selon l'ONG.
Sur la base d'autres images, elle affirme que Moatassem a été capturé vivant puis transporté à Misrata où on l'a vu fumant et tenant une "conversation hostile" avec des combattants. Quelques heures plus tard, "son corps est retrouvé avec une nouvelle blessure au cou qui n'était pas visible dans les premières images".
HRW affirme avoir remis les résultats de l'enquête aux autorités de transition libyennes immédiatement après les meurtres et a ensuite demandé aux nouvelles autorités de mener une enquête complète sur ces crimes qui s'assimilent à des crimes de guerre.
M. Bouckaert a de nouveau appelé à une enquête sérieuse sur "ces exécutions de masse le 20 octobre 2011, les plus graves abus commis par les forces de l'opposition" durant les huit mois de conflit en Libye (février-octobre 2011).
AFP/Archives
Souha Arafat, qui soupçonne un empoisonnement de son époux au polonium, une substance radioactive hautement toxique, s'est rendue à Nanterre pour une "audition de confirmation" de sa plainte avec constitution de partie civile déposée le 31 juillet, selon une source proche du dossier.
Le 26 novembre, les enquêteurs français se rendront à Ramallah (Cisjordanie), pour prélever sur le corps de Yasser Arafat des échantillons et les analyser, d'après une autre source, palestinienne, proche du dossier.
Entre temps, les juges devraient recueillir le maximum d'éléments sur l'état de santé et l'hospitalisation de Yasser Arafat à l'hôpital militaire de Percy, près de Paris, où il est décédé le 11 novembre 2004.
Ils demanderont sans doute communication des analyses réalisées par l'Institut de radiophysique de Lausanne qui a trouvé "une quantité anormale de polonium", sur des échantillons biologiques prélevés sur des effets personnels du leader palestinien.
Reste que l'étape décisive des prélèvements d'échantillons sur la dépouille "prendrait du temps, peut-être plusieurs semaines, voire un mois", selon la source palestinienne, et suscite le débat dans les territoires palestiniens.
Les enquêteurs français et l'équipe du laboratoire suisse arriveront en même temps sur les lieux. L'Autorité palestinienne leur fournira "toutes les facilités pour déterminer les circonstances de la mort du président Yasser Arafat", selon cette source proche du dossier.
Le neveu d'Arafat opposé à des prélèvements
"L'Autorité palestinienne a décidé d'unir les efforts et les travaux de la commission palestinienne, des enquêteurs français et des experts suisses sur la mort d'Arafat et consent à une ouverture de sa tombe pour prélever des échantillons de sa dépouille si cela est utile pour parvenir à la vérité", avait déclaré le 21 septembre à l'AFP le chef de la commission d'enquête palestinienne, Taoufiq Tiraoui.
Cependant, le neveu de Yasser Arafat et président de la fondation éponyme, Nasser al-Qidwa, est opposé à des prélèvements, estimant qu'un documentaire d'Al-Jazeera avait "apporté la preuve matérielle" de son empoisonnement par Israël.
Si cette preuve est établie lors de l'instruction, s'ouvrirait alors une phase d'enquête encore plus complexe: établir les responsabilités. Nasser al-Qidwa avait accusé Israël d'avoir eu recours au polonium.
Israël avait répliqué en affirmant qu'"il n'était pas impliqué" dans la mort d'Arafat, sans exclure "que des responsables palestiniens l'aient éliminé".
Diffusé début juillet, le documentaire d'Al-Jazeera a redonné du crédit à la thèse de l'empoisonnement de Yasser Arafat, dont la mort n'a jamais été élucidée.
La chaîne qatarie avait fait analyser des échantillons biologiques prélevés sur les effets personnels d'Arafat par le laboratoire spécialisé de Lausanne, qui y a découvert "une quantité anormale de polonium".
Cette substance radioactive hautement toxique avait servi en 2006 à l'empoisonnement d'Alexandre Litvinenko, ex-espion russe devenu opposant au président Vladimir Poutine.
AFP/Archives
"Selon de premières informations, l'attaque a fait de nombreuses victimes au sein des forces afghanes, mais il n'y a pas pour le moment d'informations faisant état de victimes (parmi les soldats) de l'Otan", a déclaré un porte-parole de la coalition internationale sans préciser si les victimes afghanes étaient blessées ou tuées.
"L'attentat à la voiture piégée a frappé mercredi matin un avant-poste de l'Isaf, la force de l'Otan en Afghanistan, et des forces de sécurité afghanes dans la province de Paktiya (est)", a-t-il déclaré à l'AFP.
"Nos moudjahidines (combattants) armés de roquettes, de mitraillettes, de grenades et de vestes de kamikaze ont infiltré avec succès une base américaine dans le district de Zormat après un attentat à la voiture piégée mené par un de nos moudjahid", a raconté à l'AFP Zabiullah Mudjahid, porte-parole des talibans.
"Des combats lourds sont encore en cours", a-t-il poursuivi, ce que nie l'Isaf, pour qui la bataille a cessé, le camp étant désormais "sécurisé".
Un porte-parole du gouverneur de la Paktiya, une zone relativement instable, a indiqué ne pas connaître le nombre de personnes tuées mais savoir que dix soldats afghans avaient été blessés.
L'adjoint au gouverneur a précisé plus tard que l'attaque avait fait 45 blessés, pour la plupart des militaires afghans blessés légèrement.
Selon le ministère de l'Intérieur afghan, le véhicule piégé, un camion, a explosé à 7H00 du matin (locales, 2H30 GMT), faisant de nombreux blessés mais pas de tués.
"Quand le camion a touché la grille, il y a eu une énorme explosion", a raconté un témoin.
Après bientôt onze années de présence internationale, en soutien des forces afghanes, l'insurrection menée par les talibans n'a pu être défaite.
Les rebelles, dont les attentats suicide et les bombes artisanales étaient les armes de prédilection, mènent désormais des attaques de plus en plus complexes contre des infrastructures militaires de l'Isaf. Les talibans sont surtout actifs dans l'est et le sud de l'Afghanistan.
Le 15 septembre, ils avaient lancé une attaque d'envergure contre le camp Bastion (sud), où est basé le prince britannique Harry, infligeant de très lourds dégâts matériels à la coalition -détruisant notamment six avions- et tuant deux de ses membres.
L'action, menée par un petit groupe d'homme très bien entraînés, armés et préparés, faisait penser à celle "d'un commando des forces spéciales occidentales", avait observé une source occidentale à Kaboul.
Ni le ministère de la Défense nationale, ni celui de la Sécurité publique et celui en charge de la Justice ne veulent s’exprimer sur le sort réservé aux démobilisés du Cndd-Fdd qui ont défilé en tenue militaire. Pourtant, la loi est claire.
Il y a deux ans, le ministère de la Défense nationale et des Anciens Combattants mettait en garde la population quant à l’usage des effets militaires. Gaspard Baratuza, porte-parole de ce corps, rappelait : « Seuls les militaires sont autorisés à porter un effet militaire. Toute autre personne qui en fait usage se verra dépouillée du matériel sans condition et sera poursuivie par la justice. »
Aux militaires, le colonel Baratuza faisait savoir que le port d’une tenue ou tout autre effet militaire en congé ou dans un lieu autre que celui de travail est interdit. Il leur était recommandé aussi l’évacuation du matériel usé à la Base Logistique pour destruction avant l’octroi d’un nouveau, comme le prescrit le règlement militaire en matière de gestion du matériel. Ceci, expliquait Gaspard Baratuza, pour éviter toute confusion entre militaires et malfaiteurs lors des forfaits commis à l’endroit de la population.
Pourtant, ce 29 septembre 2012 à Cibitoke, devant Gabriel Ntisezerana, président du Sénat, Edouard Nduwimana, ministre de l’Intérieur, Joseph Ntakarutimana, vice-président du parti CNDD-FDD et autres personnalités, des démobilisés ont passé outre cette interdiction : les uns avec des ceinturons, les autres portant des bottines, chemises ou pantalons militaires. Ces derniers ont passé en revue leurs troupes sans être inquiétés. En guise de rappel, le parti au pouvoir célébrait le deuxième anniversaire de sa victoire pour le deuxième mandat de Pierre Nkurunziza.
Pas de commentaires
Deux semaines après cette manifestation politique, le ministère de la Défense via son porte-parole fait savoir que la mesure du 21 juillet 2010 reste d’application. Interrogé, le ministère de la Sécurité se refuse de tout commentaire. Quant au ministère de la Justice, son porte-parole justifie son silence : « Pour répondre à cette question du sort réservé à ces démobilisés, je dois concerter mes supérieurs qui, pour le moment, sont en mission de travail. » Le secrétaire permanent au ministère de l’Intérieur, quant à lui, reconnaît la faute commise alors que son supérieur hiérarchique a tout simplement minimisé les faits. Il compare la tenue de ces démobilisés à des haillons.
Le Cndd-Fdd prépare-t-il sa milice ?
La police ne cesse de procéder à des fouilles-perquisition là où elle le juge nécessaire. La semaine passée, la fouille a été opérée dans un domicile de Bubanza dont le père de famille est un militant du parti UPD-Zigamibanga. Il n’y a pas longtemps, la Commission nationale de désarmement a procédé à la récupération des armes détenues par la population civile. Pourtant, ce défilé du 29 septembre montre qu’il y a une catégorie de la population qui garde le matériel militaire et policier. Il y a lieu de se demander pourquoi ce matériel n’a pas été remis.
La mesure concerne-t-elle certains et non d’autres ? Une opinion ne doute pas que la politique de désarmement a échoué à moins que le parti Cndd-Fdd ne soit pas concerné par ce processus. De l’avis de Pacifique Nininahazwe, délégué général du Forsc, il est grand temps s’il n’est pas tard que le président de la République prenne des mesures : « La situation risque de dégénérer comme au Rwanda avec les Interahamwe. Surtout que l’ADC-Ikibiri déclare qu’elle va aussi mobiliser sa jeunesse. »
Du côté du pouvoir, la question semble ne pas avoir d’importance. Le secrétaire permanent au ministère de l’Intérieur parle d’haillons et non de tenues complètes. Mais au delà de ces haillons, certains ne doutent pas qu’ils sont en possession d’armes qu’ils utilisent lors de leurs patrouilles nocturnes. Dans tous les cas, des observateurs avisés estiment que les dirigeants de ce pays devraient éviter la catastrophe. Pour eux, leur silence aggrave la situation, d’autant plus que c’est la sécurité et l’ordre publics qui sont menacés.
jean-Marc Ayrault, chiffrant à 37 le nombre d'homicides en Corse en 2011 et 2012, après l'assassinat d'un célèbre avocat mardi à Ajaccio, a qualifié d'"insupportable" cette situation, mercredi à la sortie du Conseil des ministres.
AFP/Archives
"Cette situation est insupportable, le gouvernement est déterminé à agir avec la plus grande fermeté, la plus grande détermination contre ce fléau qui mine la Corse, qui est le crime organisé, depuis de longues années", a déclaré le Premier ministre, au lendemain de l'assassinat de Me Antoine Sollacaro, ancien avocat d'Yvan Colonna et figure du monde judiciaire en Corse.
"C'est une lutte que le gouvernement veut mener de façon globale, contre toutes les formes de criminalité", a-t-il ajouté, "le grand banditisme en Corse est maintenant bien organisé, notamment dans sa dimension économique et financière, donc c'est sous tous ses aspects qu'il sera combattu".
Parlant de "chiffres impressionnants", Jean-Marc Ayrault a dénombré 22 homicides en Corse en 2011, et "déjà 15" en 2012, mais aussi un total de 117 attentats ou tentatives d'attentat dans l'île sur les deux années (62 en 2011, 55 à ce jour en 2012).
"Chacun peut le constater, il y a beaucoup à faire pour que la loi républicaine soit respectée par tous et partout", a-t-il encore dit, citant également le cas de Marseille, frappée par une forte criminalité. "C'est par un travail en profondeur, déterminé, méthodique que nous réussirons", a-t-il ajouté.
L'assassinat de Me Antoine Sollacaro, figure du monde de la justice en Corse, a suscité une vive émotion sur l'île de Beauté.
M. Ayrault a aussi annoncé que le gouvernement allait élaborer une directive de politique pénale spécifique à la Corse, comme il l'a fait récemment pour lutter contre la criminalité à Marseille.
Le Premier ministre a encore demandé aux ministres de la Justice Christiane Taubira et de l'Intérieur Manuel Valls "des propositions sur la stratégie globale de lutte" contre la criminalité en Corse. Il réunira la semaine prochaine un séminaire gouvernemental sur le sujet.
"J'ai demandé à la garde des Sceaux ainsi qu'au ministre de l'Intérieur de me faire des propositions sur deux points; d'abord (sur) le renforcement de la coordination opérationnelle entre les services de police et de justice, mais également (...) sur la stratégie globale de lutte contre ces activités criminelles", a dit M. Ayrault.
"Une directive de politique pénale sera élaborée, spécifique au territoire de la Corse, conforme à la directive de politique pénale qui a été adoptée récemment par le Conseil des ministres", a-t-il ajouté, en référence à un texte gouvernemental spécifique pour Marseille.
Et d'enchaîner : "J'organiserai la semaine prochaine une réunion à partir de cette commande à ces deux ministres, à laquelle j'associerai également le ministre de l'Economie et des Finances (Pierre Moscovici) et le ministre du Budget (Jérôme Cahuzac) concernant tous les aspects fiscaux de délinquance financière, afin de définir le plan d'action à prendre".
"Je demande également à tous les autres membres du gouvernement (...) de veiller, en liaison avec les élus de Corse, au respect des engagements de l'Etat (...) en particulier (en termes) d'investissements" et à "veiller à la cohérence globale de l'action des politiques publiques".
Le président de la République, François Hollande, a lui estimé en Conseil des ministres que la violence en Corse n'était "aucunement acceptable dans notre République", a rapporté la porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem.
M. Hollande a relevé que "la violence en Corse n'est pas nouvelle mais a changé de nature et d'intensité". "Elle est aujourd'hui essentiellement liée à des réseaux, des clans, des règlements de compte avec un nombre de morts qui n'a cessé de progresser et qui n'est aucunement acceptable dans notre République", a-t-il ajouté, selon la porte-parole.
2) TIRER LES LECONS DU PASSE.
a) Les Israélites.
Le peuple élu a vécu des miracles remarquables.
Il a traversé la Mer rouge à sec. Exode 14:21-29.
Il a eu à de nombreuses reprises la démonstration de l'amour et du secours divins.
Il a expérimenté la fidélité du Tout-Puissant.
Malgré cela, il s'est plaint régulièrement. Exode 15:22-24; 16:1-3; 17:1-4.
Il a manifesté du mécontentement, de l'incrédulité et de la rébellion. Nombres 11:1; 14:1-4.
On peut imaginer ses craintes après 3 jours de marche dans le désert lorsqu'il est arrivé dans un endroit où l'eau était imbuvable. Exode 15:22-23.
Son inquiétude dans une situation périlleuse était légitime.
Mais les hébreux n'ont pas tirer la leçon du passé récent au cours duquel ils ont reçu l'assurance au travers de Moïse d'être conduits dans la terre promise. Exode 6:1-8.
Ils ont eu la garantie de recevoir délivrance, secours, présence divine et certitude de l'accomplissement du plan de Dieu. Ils ont vu le prodige d'une mer fendue en 2.
Ils étaient donc en mesure, même dans une circonstance pénible, de se souvenir de ces réalités pour être renouvelés dans leur foi et surmonter leur épreuve.
Il peut arriver à un disciple de passer à Mara. Ce mot signifie "amertume".
Il sous-entend les notions "d'affliction, de mécontentement, de vive souffrance, d'irritation".
Le fait de se convertir à Jésus n'immunise pas contre les déconvenues et les contrariétés.
Si le croyant ne se souvient pas de la grâce de Dieu déployée dans sa vie, s'il n'a pas conservé en mémoire les innombrables preuves du soutien et du secours du Seigneur, il risque de sombrer dans le découragement et l'amertume. Il devient alors la proie des pensées négatives et de l'incrédulité.
C'est pourquoi la bible invite à se souvenir du chemin parcouru. Deutéronome 8:2.
Il ne s'agit pas de ressasser les éléments négatifs ni d'entretenir des fardeaux et des frustrations. Avec cette exhortation, le Seigneur encourage à orienter les regards vers ses interventions bienfaisantes et salutaires manifestées dans le passé.
La foi est alors stimulée car elle est nourrie du souvenir des bienfaits divins. Psaumes 105:5; 143:5.
Jonas accablé par 3 jours terribles passés dans le ventre d'un énorme mammifère marin s'est souvenu de l'Eternel et a ainsi trouvé la force de prier. Jonas 2:8.
b) Pierre.
Le Seigneur incite à se souvenir de sa parole.
Pierre a été surpris dans un premier temps de voir des non-juifs être baptisés du Saint-Esprit.
Cela ne rentrait pas dans le cadre de son raisonnement et de sa compréhension de l'œuvre divine. A un moment, il s'est rappelé un passage des Ecritures. Cela lui a donné de l'assurance et lui a confirmé que le Seigneur était en train d'agir. Actes 11:15-17.
Après la résurrection de Jésus, des femmes fidèles ont rencontré un ange.
Il les a encouragées à se souvenir de ses Paroles. Luc 24:6-8.
Il est indispensable qu'un chrétien se souvienne des enseignements bibliques.
Les conseils des Ecritures soutiennent la foi et renforcent la confiance en Dieu.
Quand on ne les suit pas, on se trompe de chemin et on s'égare du plan divin.
Quand on les observe, on réalise leur infinie sagesse et leur bien-fondé.
Pierre a renié son Maître.
Se sentant en danger et menacé, il a utilisé le mensonge en déclarant ne pas connaître Jésus. Matthieu 26:69-74.
Il s'est engagé avec serment et a fait des imprécations. Ce terme signifie: "se déclarer soi-même sujet à la sévérité des punitions divines". Autrement dit, Pierre a déclaré avec force: "Que Dieu me punisse et me traite avec toute sa rigueur si je mens ! Je le jure, je ne connais pas cet homme!"
Le futur apôtre est allé très loin dans le péché. Mais il s'est sincèrement repenti. Il a été dépouillé de son orgueil qui l'a conduit à la chute. Proverbes 16:18; 15:33.
Il a été puissamment transformé par le Saint-Esprit et il est devenu un homme de Dieu exemplaire. Le Seigneur l'a totalement pardonné. Proverbes 28:13; 1 Jean 1:9.
Son histoire démontre qu'un individu peut commettre des péchés graves et s'enfoncer dans le mal. Cependant, quand le cœur est bien disposé pour mettre en pratique les enseignements divins, le Seigneur accorde sa grâce et la personne est rendue capable de rebondir sur ses égarements.
Il convient de se souvenir des fautes commises, non pas dans le sens de permettre à la culpabilité de ronger l'âme, mais dans le but positif d'en tirer les leçons et d'être motivé et vigilant pour ne plus retomber dans les mêmes travers.
D'ailleurs, quelque temps après cet événement, Jésus a rappelé de manière sous-entendue le péché de Pierre lors d'une conversation. Jean 21:15-19.
En lui demandant à 3 reprises s'il l'aimait, le Seigneur a fait référence au reniement manifesté en 3 phases. Cet exercice n'avait pas pour intention de briser à nouveau Pierre ou de lui suggérer que son péché n'était pas totalement pardonné. Il devait marquer profondément le futur apôtre afin qu'il se souvienne de ses faiblesses. Cela devait le motiver à ne plus se laisser emporter par l'orgueil pour rester attaché au Seigneur.
De la même façon, lorsque le Saint-Esprit permet que des événements peu glorieux de notre passé restent gravés dans notre mémoire, ce n'est pas pour maintenir dans l'accablement. Le but est d'en tirer les leçons afin de ne plus retomber dans le péché. La mauvaise nature a besoin d'être brisée pour que l'enfant de Dieu soit humblement conscient de ses faiblesses et demeure vigilant.
En se souvenant où et comment on est tombé, on doit alors développer le dégoût du péché ainsi que la haine et le rejet du mal. Psaume 97:10; Proverbe 8:13.
c) S'inspirer des autres.
Dieu nous demande d'être sage et intelligent pour considérer notre passé afin de pouvoir en tirer les leçons. La bible fournit énormément d'illustrations concernant la vie de plusieurs personnages. Elle nous révèle leurs qualités comme leurs défauts. Ces-derniers ne sont pas communiqués pour attiser un esprit critique de jugement dans le sens de condamnation. Matthieu 7:1-5.
Mais le Seigneur a permis que nous en ayons connaissance pour que nous sachions en tirer les leçons et les enseignements pour notre vie.
Paul affirme que les travers d'une génération doivent servir d'exemple pour ne pas imiter ce qui a été fait et marcher ainsi dans les voies de l'Evangile. 1 Corinthiens 10:6-12.
Ainsi, les péchés, les erreurs et les égarements des autres peuvent constituer une source d'enrichissement. Avec un état d'esprit selon le Seigneur, ils peuvent être une bénédiction dans la mesure où un disciple en retire enseignement et instruction pour sa propre vie.
Un chrétien sage et intelligent animé du désir de réussir sa vie médite les Ecritures et observe le parcours des autres pour laisser le Saint-Esprit l'éduquer.
Luc cite la terrible déconvenue de la femme de Lot. Genèse 19:17-26; Luc 17:32.
Il s'en sert pour donner une exhortation à ses lecteurs.
Jésus Lui-même a mentionné une catégorie de personnes pour encourager ses disciples à ne pas leur ressembler. Matthieu 6:7-8.
Ses auditeurs étaient invités à se démarquer.
d) Etre victime du péché des autres.
Le Seigneur invite donc à tirer les leçons d'un passé entaché par le péché.
Mais il convient de considérer également les souffrances dont sont victimes des personnes.
C'est le cas lorsque des gens ont été trompés voir trahis.
Etre pur, vrai, honnête, simple et marcher dans les voies de Dieu ne signifie pas être naïf, candide, crédule. Jésus a regretté que les croyants pouvaient manquer de sagesse et de clairvoyance dans les affaires notamment. Luc 16:8.
Dans ce verset, "prudents" a le sens de "avisés, habiles, attentifs à leurs intérêts, pleins de bon sens".
Ainsi, la bible encourage à méditer sur les situations passées où des abus, la tromperie, la méchanceté, la trahison ont été manifestés afin de rechercher avec l'aide du Seigneur la sagesse, la vigilance, la prudence. Dans Matthieu 10:16, on retrouve le terme "prudents".
L'évangile ouvre les yeux sur la condition humaine et montre ce que l'individu est malheureusement capable de faire de malsain et de honteux. Romains 3:10-18.
Il précise aussi qu'un croyant dominé par sa nature charnelle et esclave de ses mauvais penchants est capable d'avoir des attitudes et des comportements pires que les incroyants. 1 Corinthiens 5:1; 6:1-8.
Le secours et la grâce de Dieu sont accordés aux personnes qui ont été victimes d'expériences malheureuses dans leur passé. Le Seigneur veut les secourir en leur accordant une pleine et entière consolation. Romains 15:4-5; 2 Corinthiens 1:3-4.
Son plan consiste à les reconstruire et à les restaurer.
Avec le Seigneur, il est possible de rebondir sur des situations dramatiques et d'en tirer les leçons. Il désire aussi les équiper de sagesse. Il ne s'agit pas de s'endurcir au point de se protéger dans une carapace interdisant toute relation de confiance car le Seigneur est un Dieu d'équilibre.
Abraham partit avec son fils pour l'offrir en sacrifice et le troisième jour, levant les yeux il vit le lieu de loin. (Genèse 22:4)
Joseph laissa sortir ses frères de prison le troisième jour et leur dit : “Faites ceci, et vous vivrez, je crains Dieu.” (Genèse 42:18)
Moïse ordonna à son peuple de se tenir prêt pour le troisième jour, car le troisième jour, l'Eternel descendra aux yeux de tout le peuple, sur la montagne de Sinaï.(Exode 19:11)
La reine Esther ordonna un jeûne de trois jours avant de se présenter au roi pour apporter sa requête (Esther 4:16 ; 5:1)
Le roi Ezéchias reçut la promesse de guérison pour le troisième jour, après que l'Eternel ait entendu sa prière.(2 Rois 20:5-6)
L'Éternel fit venir un grand poisson pour engloutir Jonas et il fut dans le ventre du poisson trois jours et trois nuits. (Jonas 1:17)
Matthieu 12:40 “Car, de même que Jonas fut trois jours et trois nuits dans le ventre d'un grand poisson, de même le Fils de l'homme sera trois jours et trois nuits dans le sein de la terre...”
Toutes ces histoires transportent nos pensées vers les trois jours et trois nuits qui entourent la mort de Jésus à la croix et sa résurrection. Ces trois jours ont changé la face de l'humanité !
Nous connaissons le déroulement des évènements de la première journée (Matthieu 27), nous connaissons les détails du troisième jour (Matthieu 28) mais dans quel état de coeur se trouvaient ceux qui suivaient Jésus, le deuxième jour ?
1 Pierre 3:19 nous donne une idée de la deuxième journée pour Jésus mais ce n'est pas le propos de cet article.
Je voudrais regarder avec vous ce qui se passe dans le coeur de ceux d'entre nous qui vivons dans un “deuxième jour”.
Le premier jour, les ténèbres sont tombées sur la terre. Tout semblait s'être écroulé. Où étaient passées toutes les promesses de Dieu ? La mort aurait-elle vaincu ce prophète, de Nazareth en Galilée (Matthieu 21:1-11)? Comment celui qui est la lumière du monde a-t-il pu s'éteindre ? (Jean 9:5)? Comment celui qui est d'en haut a-t-il pu tomber si bas (Jean 8:23) ? Comment le pain de vie a-t-il pu mourir (Jean 6:51)?
Et comment celui qui a dit : “Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort; et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais ?” (Jean 11:25-26) peut-il être dans le tombeau aujourd'hui ?
Nous savons que le troisième jour allait prendre tout le monde par surprise et ramener la vie sur la terre avec la promesse de la vie éternelle acquise pour nous par Jésus.
Le deuxième jour est le jour entre le désespoir et la joie, entre la confusion et la compréhension, entre la dépression et la rémission, entre la mort et la vie, entre les supplications et les actions de grâce.
Le deuxième jour est le jour du SILENCE de Dieu.
L'adrénaline de la crise est passée. Les disciples n'ont sans doute pas dormi pendant de longues heures. Leur Jésus est mort. Ils se souviennent de ses enseignements, de ces années pendant lesquelles ils se sont sentis si proches de Lui. Ont-ils rêvé ? Se sont-ils trompés pendant toutes ces années ? Si même Jésus est mort, que va-t-il leur arriver ? L'un d'entre eux a trahi Jésus, un autre l'a renié trois fois, les autres se sont enfuis... Quelle débandade !
Notre vie ressemble aussi à cela parfois.
Notre premier jour est celui où les difficultés nous tombent dessus. Puis le deuxième jour arrive, et les difficultés sont toujours là avec en plus, le silence de Dieu ! Et pendant ce deuxième jour, nous ne savons pas si ou quand, le troisième jour arrivera ?
Il ne nous reste que le SILENCE... et des supplications, “Seigneur, au secours !”
Nous sommes envahis des mêmes sentiments d'incompréhension que ceux liés à Jean 11:6 “Lorsqu'il (Jésus) eut appris que Lazare était malade. il resta deux jours encore dans le lieu où il était.”
Oswald Chambers a écrit un magnifique article sur le silence de Dieu (God's silence, then what?) En voici un extrait :
“Dieu vous a-t-il témoigné sa confiance en gardant le silence - ce silence qui a un sens si profond ? Les silences de Dieu sont ses réponses. Représentez-vous ces jours de silence absolu, dans la maison de Béthanie. Connaissez-vous actuellement, dans votre vie, quelque chose de semblable ? Dieu peut-il vous témoigner de cette manière-là sa confiance, ou réclamez-vous encore une réponse manifeste ?
Dieu vous accordera sans doute les bienfaits que vous réclamez, s'il vous semble impossible de vous en passer ; mais son silence est la preuve qu'il veut vous faire parvenir à une plus merveilleuse connaissance de lui-même. Vous plaignez-vous à Dieu de ce que vous n'avez pas reçu de réponse ? Vous verrez que Dieu vous a, par son silence manifesté une plus grande confiance, parce qu'il a vu que vous étiez capable de supporter une révélation plus sublime.
Il ne voulait pas vous plonger dans le désespoir, mais vous rendre plus heureux. Si Dieu vous a répondu par le silence louez-le, car il veut vous entraîner vers de plus hautes destinées. Le moment où il vous manifestera qu'il a entendu vos prières viendra ; c'est lui qui, dans sa souveraine sagesse le détermine. Pour lui, le temps ne compte pas. Vous vous dites peut-être : "J'ai demandé à Dieu du pain, et il m'a donné une pierre." Mais vous vous trompez, et aujourd'hui vous vous apercevez qu'il vous a donné le pain de vie.
Ce qui est merveilleux, lorsque Dieu se tait, c'est que ce silence est contagieux. Vous devenez vous-même pleinement calme et confiant : " Je sais que Dieu m'a entendu. " Son silence même le prouve. Aussi longtemps que vous pensez que Dieu doit vous bénir par une réponse à votre prière, il le fera ; mais il ne vous accordera pas la grâce du silence. Si Jésus-Christ travaille à vous révéler le but véritable de la prière, qui est de glorifier son Père, il vous donnera le premier signe de son intimité : le silence.”
Nous avons trois réactions possibles :
Comme avec les trapézistes, le Seigneur est celui qui nous attrape et nous sommes ceux qui nous lâchons du trapèze. Il est le receveur aux bras musclés, pas celui qui se lance ...
Nous vivons dans un monde du “deuxième jour.” Notre foi peut être fatiguée. Mais Dieu continue de travailler pendant cette deuxième journée... Peut-être que le plus grand des miracles s'est produit pendant cette interminable journée ? Le Dieu de toute éternité a vaincu la mort en passant par elle.
Il ne nous laisse jamais seuls, nous ne sommes jamais en danger, parce qu'il est là, avec ses bras forts, prêt à nous attraper.
Osée 6:2 “Il nous rendra la vie dans deux jours ; Le troisième jour il nous relèvera, Et nous vivrons devant lui.”
AFP/Archives
La CGT, l'Unsa, Sud-Rail et la CFDT vont déposer un préavis de grève nationale qui débutera le mercredi 24 octobre à 19H00 jusqu'au vendredi 26 08H00, soit la veille des vacances de la Toussaint, ont précisé mercredi des représentants syndicaux.
Cette grève intervient alors que le cycle des négociations salariales vient de s'achever et que le gouvernement a annoncé pour 2013 une loi réformant à la fois la gouvernance du système ferroviaire et le statut social des cheminots.
"Il faut un changement radical de la politique de la direction de la SNCF, qu'elle cesse la casse du service public ferroviaire. Notre message au ministère est que +si (le PDG de la SNCF Guillaume) Pepy (...) ne s'arrête pas, ne comptez pas sur les organisations syndicales pour entrer dans les débats sur la gouvernance", a déclaré à la presse Gilbert Garrel, secrétaire général de la fédération CGT Cheminots.
La CGT fustige aussi "l'enfumage" des chiffres de la direction sur le nombre des embauches, soulignant la différence existant entre les 5.500 embauches prévues dans l'Epic et les 6.900 départs en retraite.
Les salaires sont un autre sujet de désaccord, avec 0,5% d'augmentation générale proposée par la direction, "on est en dessous de tout avec des cheminots en dessous du SMIC", a commenté pour sa part auprès de l'AFP Didier Aubert de la CFDT.
"L'autre élément est que le financement et la réunification du gestionnaire d'Infrastructure (RFF/SNCF) tarde à venir: la grève est clairement un coup de pied dans la fourmilière vis-à-vis du gouvernement", poursuit M. Aubert.
L'harmonisation sociale (entre les agents de la SNCF et les salariés des opérateurs privés), dans la perspective d'une ouverture à la concurrence du transport régional, est un autre sujet d'inquiétude pour les syndicats, de même que la situation du fret.